Le Mot Ment ne lâche rien. Encore une fois, il y avait une bonne flopée de têtes plus ou moins bien cadrées pour la séance de ce samedi après-midi. Deux nouveaux visages venus aussi : Nadège qui nous a conviés à réfléchir sur la figure des pleureuses en ces temps particuliers et Marie dont on a fait connaissance avec le héros qui fait du surf en Bretagne. Deux adeptes du Mot Ment version originale, c’est-à-dire nancéienne, étaient de la partie également : Sophie nous a lu le poème « ZONDER-SANS » de la poétesse belge Laurence Vielle et ana nb nous a émus et un peu effrayés à cause de « cinquante hommes en noir qui nous regardent ». Frédéric quant à lui poursuit toujours le road-trip de vacances de son héros, Alex S. ses questionnements vis-à-vis du confinement, du journal de Mouawad et des mesures macronistes et René-Ralf ses textes composés dans le cadre des ateliers en ligne de Laura Vazquez. Hugues aussi était de la partie, ainsi que Jacqueline qui nous a chanté « Un jour un jour » de Ferrat/Aragon et « Grândola, Vila Morena » du Portugais Zeca Afonso afin de commémorer la Révolution des Œillets – 25 avril oblige. Alex P. nous a dégainé un poème, catégorie polémique, sur la « famille Ricoré » – faites des enfants ! Enfin Claire-Marie nous a lu de nouveaux extraits de son journal de confinement, notamment le départ de son hôte espagnole et la lettre que celle-ci a laissé à son attention en partant. Séance pleine malgré les aléas technologiques de la visio. On se dit à la semaine prochaine !
(illustrations de Frédéric)
