Le Mot Ment du 30 mai 2020

Le Mot Ment se la joue étudiant en révision, posé sur la pelouse devant la fac de droit. Au menu ce samedi : Geneviève a lu un poème de Valérie en clin d’œil à Capdevielle (« quand t’es à la maison depuis trop longtemps ») et Muriel des poèmes tirés de « Pour la Paix » du duo Éluard/Picasso et de « Seigneurs et nouvelles créatures » de Jim Morrison. Alex S. a célébré ces rencontres improvisés depuis la fermeture des bars. René-Ralf a dégainé le tout premier recueil de JP Klée, « L’été l’éternité » ainsi que le livre paru en 1965 « La poésie de la Beat Generation », première traduction en français de cette bande d’Américains. Véronique aussi était de la partie et Alex P. nous a lu quelques compositions personnelles, notamment son beau poème « ma rue connaît ». Les bars vont rouvrir, le Mot Ment reprendra certainement ses quartiers au Mandala dans un avenir plus ou moins proches. Il n’est pas dit pour autant qu’on abandonne ces chouettes lectures en plein air !

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